Petite improvisation au clavier sur une mélodie de Peter Deunov, une mélodie sur laquelle un ou une de ses disciples – il avait fondé une école spirituelle, la Fraternité Blanche Universelle, blanche au sens de solaire – avait ajouté des paroles.
Je ne connais même pas le nom de ce chant, mais je trouve qu’il incroyablement inspirant !
Comme toujours avec les mélodies de Peter Deunov, il y a cette simplicité étonnante, qu’on pourrait comparer à celle d’une source.
Qu’est-elle ?
De l’eau qui doucement se fait entendre du jour et de la lumière.
Que peut-elle ?
Tout, puisqu’elle est la vie !
Pour moi ces chants sont une source, à nous d’en faire quelque chose.
Je joue remarquablement mal du piano, j’en ai un peu conscience quand même !, mais voilà, j’essaye de retrouver dans le filigrane de ce chant ce dont il parle : de la beauté du monde invisible, de sa variété, de cette longue histoire d’échos, de rires, de soleils dont les âmes parlent entre elles et dont nous sommes les auditeurs inconscients et pluriels